Tableaux-tapis – tableaux-grille et tableaux-d’art
Le tapis, par terre est l’un des plus beau. On a pu voir des tableaux-tapis.
Un tapis était bleu, jaune, rouge, vert, blanc, noir, gris, marron et rose.
Les tableaux grilles sont avec des lignes noirs dedans et des formes géométriques. Les tableaux-grilles empêchent toute personne de passer derrière…
La Galerie est un château
J’ai aimé l’exposition et l’atelier de collage.
Le groupe était intéressant, les tableaux, des tapis intéressants.
Dans ma jeunesse, j’étais inscrite à la bibliothèque et maintenant c’est une galerie.
j’ai été surprise du changement. Et avant, c’était une maison.
A la Maison
Nouvelle exposition. Nous entrons dans une demeure de Maître et non plus un Musée. Entrée, Jardin d’Hiver, Petit Salon et Grand salon, Salle de billard et le Sous-sol.
Le tout décoré par différents Artistes ayant comme point commun la Récupération, la Copie et Recopie, Découpage, Collage et Photocopies.
Rien n’as été oublié : Les Rideaux, le Papier peint : superposition de collage photocopiés a l’infinie,
les Tableaux : tapis d’orient et d’occident juxtaposés ou grilles découpées au laser, assemblées puis peintes à la main,
le Tapis géométrique récupéré du Casino Caesars Palace avec des aplats refait presque à l’identique mais de moins bonne facture,
les petites babioles de céramique ,empilées sur supports a tête presque humaine.
Bonne promenade.
Homme vs Machine
Sur ce splendide tapis venant de Las Vegas du temple de boxe mondial au « Caesars Palace Hotel ». On voit l’inspiration de l’artiste américain en superposant des morceaux de tapis fait par la machine sur l’original fait main.
L’artisanat italien riche des années de savoir faire et du talent n’a pas été encore rattrapé par la machine.
Des couleurs, de la densité, du détail,le style, les formes… Maitrisés par les mains des l’artisan et foulé par les années par les visiteurs de Caesars Palace Hotel. Comparé par les pièces faites par la machine qui manque de ce magie humain.
Et c’est l’homme qui gagne.
Le monstre souris
Nous sommes arrivés, nous avons commencé la visite par le Jardin d’Hiver, il y avait les palmiers noirs faits de cuir. Tout autour, les murs étaient tapissés de papier peint. Ensuite nous sommes passés au Petit Salon où il y avait des structures en terre cuite avec divers éléments collés au pot (grenouilles, coccinelles…) et des « collages » de morceaux de tapis et de moquette. Puis il y avait aussi un grand tapis du César Palace (Las Vegas) fait main par un artisans Italien, qui a été « relooké » avec des morceaux de tapis industrielles. Autour de ce tapis, d’autres structures en terre cuite, dont le fameux « monstre souris ».
Je vois le Monstre Souris posé sur le sol. Il a un masque, il a un chapeau qui ressemble à un ananas. Sur ce chapeau, il y a des girafes. Il a le visage marron. Le monstre me fait peur car il me rappelle des souvenirs d’enfance.
Le café a été servis, ma petite cuillère tintait, mon regard perdu dans la salle tout en buvant mon café de 14h47. Ma secrétaire tape tout ce que je lui dit actuellement.
Fausse gueule cassée
Un homme qui a l’air d’aller bien. Mais PAS DU TOUT ! Le pauvre, il n’a plus de vie. Par contre, il a son visage. Mais bon, assez parlé, on va raconter son histoire : il était dans un bâtiment un homme, un soldat, il s’appelait Bibi le Boss de la Nasa, mais un jour une balle perdue arriva et boum !
L’Égypte yolo :D
On dirait que ça vient de l’Égypte mais avec un vase YOLO… Il y a vraiment le nez du lion, même les yeux. Il n’y a que les pattes avant qui sont différentes et les pattes arrière mais ce n’est pas voyant.
YOLO ça veut dire heeeuuu… Profiter de la vie en anglais. Mais le corps est plus maigre, on dirait que le vase fait partie du sphinx. Il y a même une plante sèchée dans le vase et sur l’écriture YOLO, il y a du bleu, une couleur pas très très voyante. Il y a des marques sur le coté du vase mais c’est fait exprès pour que cela donne l’impression que ça fait partie du sphinx .
L’antre de l’art
Je m’appelle Adan, je suis le propriétaire d’une maison, dans cette maison j’ai acheté des œuvres d’arts. Enfin bon, ça m’a couté très cher… Dedans, il y a quatre vases, un bol avec des étoiles de mer, deux tableaux, un en forme de spirale et un autre avec différentes types de couture. A coté, il y a un tapis avec des morceaux de tapis superposés. Il y a un morceau qui ressemble au marteau de Thor…
Le flamant rose au portemanteau
C’est l’histoire d’un homme qui avait un portemanteau. Il y avait un morceau de bambou qu’il avait cueilli dans la forêt la plus dangereuse du monde. Le flamant rose a été capturé dans le lac sans fond. Cet homme très courageux, s’appelait Corbeilleatorium et il est mort…
Les étoiles de mer
On est parti à la mer et j’ai trouvé des étoiles de mer en pierre, de belles pierres et des coquillages multicolores dans un bol en dessous de l’eau.
Le matin, ils partent parce qu’ils ont peur et le soir, ils se réveillent pour nager et jouer quand tout le monde est parti.
Pour l’exposition, Space my body, une pièce pour mon corps
Pour l’exposition, Space my body, une pièce pour mon corps
il y a un haut du corps avec des vêtements dechirés et des bouts de tissus cousus dessus
sur des manteaux avec des vêtements recousus dessus, il y a une couverture repliée sous forme de banc
il y a des poupées gonflables, mannequins avec des briques dessus
il y a aussi des langues de plusieurs couleurs, crées sous forme de savon
il y a aussi un collier bijoux en charbon
il y a une grille avec des chocolats Kinders
il y a des têtes en grille avec des langues hors de leurs bouches

Kinders Surprise dans une barre de fer
Ces Kinders Surprise qui ne seront jamais ouverts garderont toujours leur cadeau mystère. Avec les lécheuses en arrière plan, on dirait qu’elles ont faim de Kinder, Mais hélas les Kinders sont maintenus dans une armature de fer, donc les lécheuses restent sur leur faim. Le fait que les sacs import-export se retrouvent dans l’arrière plan des Kinders marquent la différence entre le capitalisme et le communisme. L’ évocation de ces sacs qui servaient aux marchandises de luxe et étaient réservés aux étrangers (mais quand même accessibles aux Estoniens fortunés), contrairement aux Kinders disponibles pour tous les milieux.

Interprétation d’un globe terrestre
Cette image construite d’aluminium et d’acier nous montre une œuvre qui « tire la langue », une grossièreté ? Cela me fait penser aux logo des Rolling Stones.
Avec mon imagination personnelle cela me fait penser sur le dessus de l’œuvre a un globe terrestre, les morceaux d’aluminium me font penser aux différents continents de notre planète.
Le côté gauche de l’œuvre me fait penser a une figure d’hippocampe.

Vision Rouge
Anu Põder : Artiste estonienne (1947-2013) .
Une partie de ses œuvres a été exposée à la galerie de Noisy-le-Sec. La photographie retenue : les gants rouges, l’écran, les lécheureuses. La manière dont a été prise la photographie, nous pouvons imaginer un retour dans le passé. Un personnage matérialisé par les gants rouges surveille des personnes emprisonnés derrière des barreaux. Ces êtres semblent affamés et tentent à tout prix de survivre. La couleur rouge est très présente : symbole du communisme, du sang, de la souffrance.
Quel sera le devenir de cette œuvre ? Les Kinders vont-ils contenter les affamés en manque de gourmandise…

Gants
La femme invisible était là cet après-midi du mardi.
Ses gants rouges nous faisaient l’insigne honneur d’être là avec nous.
Gants suspendus, dans une position d’attente comme s’ils observaient ou attendaient une réaction du visiteur.

Silhouette du passé
Je suis un peu en morceau,vous pouvez voir ma trame, ma construction et vous dire que l’on n’en fait plus comme moi. De la toile de jute, inconnu pour vous. Je vais tenir le plus possible mais…
En arrière plan les silhouettes découpées dans du linoleum, vous ne connaissez pas ce matériau. Et il ne durera pas dans le temps, il se craquelle…
Dans quelques temps, nous ne serons plus, mais je sais que dans votre mémoire nous y resterons longtemps et les photos nous fixeront à jamais, pour la postérité de l’œuvre de notre créatrice Anu Põder.

L’ennui à la maison
Salut tout le monde. La Galerie, c’est bien. L’artiste qui a fait l’exposition habitait en Estonie. Il y avait des Kinders mais on ne peut pas les toucher. Ca ne se fait pas ! Il y avait aussi des gants rouges et des langues de savon.
Naim
Chahareddine
Si j’avais vécu dans un pays pareil, j’aurais déménagé direct. Parce qu’on aurait eu tous les mêmes choix.
Izem
Adan
Bonjour, j’ai visité l’exposition, j’ai adoré tout, surtout les langues de vache en savons. Si j’avais vécu en Estonie en 90, on aurait eu les mêmes vêtements.
Maïssa
La meilleure œuvre, c’est les langues de vaches et les morceaux de ruches encadrées mais le collier avec de gros morceaux de charbon, de fer et de perles est bien. Mon père a peur des alvéoles donc il a flippé !
Nino
Caméléon
Un caméléon multicolore
vient de passer devant moi
il a un cœur bleu
des pensées jaunes et vertes
une manière de parler qui me
rappelle la couleur ocre
une vision du monde noire
mais une façon de rire mauve
Je ne sais pas si j’ai vu tout
ça en vrai ou si j’ai pas
projeter (encore) des choses
sur lui, alors j’ai googlé
« caméléon-humain qui marche
ans la rue ».
Et je suis tombé sur « aucun
résultat ». Plus tard,
j’ai demandé à la lune
si mon imagination ne
prenait pas trop de place :
la lune n’a rien dit, elle
a intensifié sa lumière
encore, et encore, et encore,
et encore, et encore, et encore
mon visage était si illuminé
si brillant,
j’ai fermé les yeux
j’ai fermé les yeux longtemps
tout apparaissait
calme, calme, calme
clair, clair, clair
clair, clair, clair, clair
clair, clair, clair, clair…
La danse du caméléon
Le caméléon a brûlé tous ses vaisseaux dans le club. Il a dansé, dansé, dansé. Au matin, exsangue, il sort de la boîte. Le jour se lève, il est seul dans la ville, seul sur la terre. Où sont passés les autres ? Il est le dernier caméléon sur Terre. Tous les autres ont pris une forme définitive qui les rassure. Lui, ne veut renoncer à rien. C’est le prix de la liberté.
Un extra terrestre explore l’univers
Un extra terrestre explore l’univers
De son vaisseau spatial ne voit que du noir
Découvre le chaos de toutes ces planètes
Chamboulement – Haut, bas, endroit, envers
Protège son espace
Perd contact avec sa base
Fantômes dérivant sans fin
Amère est la vérité
Une étoile de plus est née !
Le savoir c’est la paix…fais le savoir
Le vaisseau lointain… très lointain… s’approche de notre planète à toute allure, une allure quantique… une vitesse en ligne droite… inconnue par nos physiciens… par manque de moyen, de curiosités et de savoir … (certainement).. et là, le vaisseau méconnu s’arrête net devant notre planète bleue… par soif de curiosités (certainement). Le vaisseau extraterrestre entame une douce approche dans notre atmosphère… une approche très furtive… « Mais que nous veulent ces visiteurs ? » s’exclame le physicien en chef, paniqué, surpris et à la fois dubitatif… Le vaisseau étranger se dirige vers un désert lointain, lui aussi à l’échelle de l’humanité, perdu sur une terre très inhospitalière et très aride, entourée par des montagnes aux sommets enneigés et inaccessibles. Le vaisseau se pose tranquillement d’une façon très protocolaire avec délicatesse. Quelques secondes se passent et là, surprise ! Un caméléon vêtu d’une simple combinaison en sort… l’animal semble se diriger vers une rave party d’un pas très rapide… le caméléon semble être excité et souriant… Il croise quelques fêtards qui le mettent rapidement à l’aise et le prennent sous leurs ailes… ce petit groupe semble très soudé… comme une famille. Le physicien est sous le choc… il n’a jamais vu ça. Se remettra-t-il en question ? Cela est moins certain. Ce qui est certain c’est que ce caméléon repartira avec ses nouveaux amis dans de lointaines contrées, toujours avec ce sourire aux lèvres et cette fraternité improbable.
Les planètes du futur
Le caméléon : il inspire les changements des couleurs de chaque merveille de la Nature et il va sur quelque chose pour changer de couleur. Le caméléon part dans le vaisseau spatial avec les astronautes.
Le vaisseau spatial : il visite les autres planètes comme Mars et pourquoi pas dans le futur trouve la vie sur la planète. Il participe à l’expédition et pose le pied sur Mars avec plein d’amis et de famille.
Le club : de la vie du futur.
Dans le monde où on vit en ce moment : voir notre planète évoluer à grande vitesse. Où va-t-on dans ce monde ? Comment va-t-il évoluer ce monde ? J’aimerai savoir s’il n’y aura plus de planète un jour.
Marchand de sable
Épuisée comme tous les soirs après une journée de labeur, j’essaie de reposer ma tête sur le dossier du fauteuil de métal qui m’emmène à toute vitesse chez moi.
Les yeux mi-clos, je vois par la fenêtre les lumières de la ville qui défilent comme des drapeaux scintillants de feu.
Une drôle d’impression d’être entre deux mondes. Je quitte ce club de laborieux et comme un caméléon je deviens invisible et me laisse transporter dans une torpeur chaude et rassurante.


Vers un ailleurs
Nous sommes tous assis. C’est l’heure de se reposer. Certains sont en train de boire un café, une infusion ou autre chose. Nous sentons un changement. Il est très discret. J’ai oublié de préciser que nous sommes dans une navette. Le hublot, qui nous permet de voir un ciel ou ce qui semble l’être, a changé de couleur. Il y a toujours des étoiles ou peut-être des galaxies lointaines. Est-ce réel ou allons-nous vers la quatrième dimension ? Peut-on savoir ?

Un peu parti un peu naze
Dans le club, les commandes fusent : cinq cafés, deux thés, un jambon-beurre pour la 3 !!! Les deux caméléons de service, Riri et Fifi, s’exécutent pendant que Loulou veille au grain (de sable) !! Les klingons s’interrogent, leur vaisseau stationne en double file depuis deux heures (Zut la PM), leur contact tarde, un certain Mulder. Soudain, la musique éclate : « GHOSTBUSTERS !!! ». Un violent éclair surgit de la pyramide. Arnold et Willy sont là, comment font-ils ça ???!!!!!!! Les klingons se rongent les griffes. Le Capitaine Kirk et Spock planqués derrière la porte observent la scène.

Paroles, paroles, paroles
Une souris verte qui courait dans l’herbe sur ma route je l’attrape et
je sens le mouv oh oui
dur comme de la pierre je suis vraiment dur dur comme de la pierre
l’eau est vraiment importante pour la terre, Godzilla va vraiment détruire la terre
Adan
Sur ma route il y a eu du moove oui,
De l’aventure du mouv oui, une vie route
Casse la démarche
Comme Samuel Samuel Umtiti
Accélération, virgule, petit pont frappe Kylian Mbappé
Amin
Cho – cho – cho – chocolat
Ah mes copines, Ah-ah-ah mes copines
Il m’a dit t’es où, j’veux rejoindre Taylor
toi moi on la la
donne moi ta main. je l’attends
Maïssa
Je marche seul
Tout est faux même à la radio et dans les journaux
Il y a mes pas qui résonnent
Ils sont dingos
sans témoin sans personne
Izem
Un éléphant qui se balançait
et c’est magique ine diai ale ale ale
Ca y est, ça y est, c’est le jour J
que sa démarche comme Samuel Samuel Umtiti
Accélération, virgule, petit pont, frappe
Yacine
Vienes cemando la brisa
Akim le fils du forgeron est venu me chercher
Il mélange au fond de sa tasse du miel
Il fait si froid dehors le ressentez-vous?
Dans les allées du parc Maurice Thorez
Celui-là voudra des bombes,
Celui-là comptera les jours
en alignant des bâtons comme les barreaux d’une prison
ils viennent du bout du monde
apportant avec eux des idées vagabondes de reflet de ciel bleu, de mirage
I can’t believe the news today
imagine all the people living for today ah ah aaah
tout le monde veut devenir un cat
un jour mon prince viendra
l’histoire éternelle la Belle et la Bête
Nourhan
Yellow
La couleur jaune.
Jaune comme le soleil.
Jaune comme le jaune d’œuf.
Le jaune et le noir.
Le jour et la nuit.
La lumière vue de derrière la porte.
La chaleur en apesanteur.
Le rêve dans la lumière.
La nuit après le jour.
Le jour et la nuit.
Le style romain
Cette photo m’inspire l’art romain. J’aime le style de cet art Italien, du style de Rome, des fresques qui sont sur les murs et les plafonds des palais comme dans les églises romaines. J’aime ce style d’Italie.
Incantation
Rayonnement , cuivre, eau.
Ta peau contre sa peau , bois, feutre.
J’ai changé de toutes les manières.
Bois, miroirs, citron.
Les bruits qui courent dans le sous sols.
Les arts plastiques
Métal, verres, peinture.
éveiller quelqu’un, Miroir, peinture.
Formule magique pour visite réussie
Depuis mes débuts à La Galerie, j’espère trouver la formule magique pour les plier, les réussir, les enchanter mes visites de l’exposition.
J’ai essayer plusieurs méthodes. En premier lieu la facilité! Dans l’exposition Le Pouvoir du dedans, l’artiste Euridice Zaituna Kala nous a laissé en cadeau dans un petit cadre rose bonbon cette formule : « Talita Kumi ». Ces quelques mots répétés plusieurs fois sont censés permettre une meilleure concentration.
Ensuite il y a une méthode plus ambitieuse. Laisser infuser les visiteurs. L’artiste Tiphaine Calmettes nous a concocté une série d’infusions pour guérir de pas mal de maux. Efficace mais chaud!
Il y a des méthodes plus fortes, de véritables doses de cheval comme l’hypnose. Toujours Euridice Zaituna Kala qui nous propose un oignon auréolé de formes géométriques alors qu’une voix nous souffle en anglais le respect et d’autres mots dont je ne me souviens plus. Parfait pour les siestes.
La sauge de Tiphaine Calmettes, odorante avec son épaisse fumée. Une vraie ennemi pour les alarmes incendie, une vraie amie pour l’esprit.
Dans une visite un mardi, tous les cartels se sont mélangés, découpés, hachés, ré-assemblés en incantations pour l’exposition et pour nous peut-être aussi.
Insight
Lors de cette expo intitulée « Le Pouvoir du dedans« , nous avons été guidé par l’artiste Tiphaine Calmettes au travers ses cinq créations. Basé sur les quatre éléments. J’ai vraiment apprécié ses approches. Parmi les créations les plus intéressantes à mon avis, il y a « Les bruits qui courent » basé sur la VMC du bâtiment qui souffle une certaine forme de « vie » dans le playground tapissé de laine.
L’autre œuvre « I have changed in every way of it« de Eurdice Zaituna Kala, sur le vaudou Haïtien m’a particulièrement marqué par son réalisme du sujet. La présence de citron verts, bouteille et verre vide tout en jouant sur les miroirs est fort intéressant.
Planète
Sur la planète bleue, nous sommes arrivés à La Galerie. Notre soucoupe est difficile à garer sur ses cazes, mais nous y zommes .
Nous pénétrons dans ce qui nous semble zêtre une zexposition (chez nous le zézaiement est de rigueur !!!!).
Et là, zurprise ! Nous reconnaissons un bruit. Zut ! Il nous pique la zoucoupe !!!!
The artist explain : « Not afraid !!! It’s a simply bzzzzzz……. »
Après le son, l’odeur, une odeur très commune chezzz nous !!! La zintula plante aromatique utiliser chez Troisgros notre chef étoilé…
Soudain zizanie mon copilote attire mon attenzion sur cette photo la planète JONASZ .
Un peu naze on sort enfin de la boite de JAZZ…………
vibrations et douceur
Lors de la visite de l’exposition, l’artiste nous a proposé de nous asseoir sur l’installation en feutre :
Premier ressenti, la douceur du feutre sous les pieds (j’étais en chaussettes), et l’harmonie ressentie au milieu de ces formes géométriques qu’on peut aussi retrouver dans la nature.
Deuxième ressenti : l’apaisement induit . Je me sentais bien sur cette installation.
Enfin, les vibrations: j’avais la sensation d’être installée à côté d’un chat qui ronronne !
Les propos de l’artiste m’ont beaucoup apporté.
Florence
Le pouvoir en commun
Kyra & Nino
A l’ intérieur de nous, on a un pouvoir, c’est la télépathie. Fort en création, pour dormir, pour lire, pour construire, pour lire l’heure, pour dessiner, pour manger des céréales, pour manger des bonbons, pour faire de la musique.
Coleen & Adan
A l’intérieur, on a les pouvoirs de lire, manger de la Pizza, regarder la télé, aller à piscine, sortir avec ses amis, dormir, prendre notre douche, écouter de la musique et aller au cinéma. Donc, on a beaucoup de pouvoirs en communs.
Yarra & Amin
A l’intérieur de mon cœur il y a un immense pouvoir microscopique qui génère notre oxygène habituel. A l’intérieur de notre main on adore cuisiner un gâteau à la fraise qui nous fait du bien
Jade & Izem
A l’intérieur, on est invisible et on a le pouvoir du feu – le pouvoir de remonter dans le temps et de trafiquer les ordinateur- le pouvoir de lire dans les pensées.
Naim
A l’intérieur de moi j’ai un pouvoir qui est la créativité, la puissance, l’électricité, dormir, me déplacer, jouer sur ma console, écrire sur les ordinateurs et jouer sur les portables…
Merci à Omar pour son aide précieuse
Une journée à La Galerie
On a commencé l’exposition autour d’une table présentant différents ustensiles pour faire du café comme par exemple une cafetière à piston et une cafetière Chemex, c’était très convivial. Puis on a fait un tour dans La Galerie, on a pu voir les différentes œuvres, c’était très intéressant, ensuite on a fait l’atelier. Durant l’atelier, on devait créer un objet design qui pouvait se trouver dans La Galerie, il fallait d’abord faire un croquis de l’objet puis le mettre à l’échelle et enfin le créer en 3 dimensions. C’était un exercice difficile mais très plaisant à faire.
Partage et Création
Bonjour, approchez-vous pour prendre un café!
Partage autour de cette desserte originale décorée d’un tableau de l’arrière grand-père de l’un des artistes.
Goûtez cet arôme venu d’au delà des Océans.
Et si vous deveniez Designer :c’est tout un travail !
En premier l’Idée, puis la mise à plat, sur papier millimétré pour la côte, le choix des matières, les couleurs pour la transmission à l’artisan.
Nous avons essayé dans l’atelier et ce n’est pas facile. Notre expérience pour mettre notre projet en 3D n’a pas été très concluante mais distrayante.
Le bureau et les escaliers
J’ai visité l’exposition, puis l’atelier. J’ai choisi l’atelier.
Alors, il y avait des crayons de papier, des crayons de couleur et des ciseaux.
Ils nous ont donné une feuille de papier et une feuille de papier millimétré. Ensuite une feuille de couleur.
Il fallait dessiner des objets.
Moi j’ai dessiné des bureaux. Avec des escaliers et un bureau avec une chaise et une lampe.
Et je les ai mis en volume. Puis j’ai découpé.
Mains sorts et papiers
Il y avait des gens qui s’embrassaient nus dans le café du Guatemala et nous avons bu du café sans sucre il y avait aussi des bois peints, du métal, du feutre. Il y avait des lampes baladeuses, j ai dessiné une lampe baladeuse en verre debout et couché.
CAFE
Ce qui m’a bien plus c ‘est le café.
J’ai bien aimé l’origine du café, sa saveur et la façon dont ça a été fait, le dosage les cafetières adaptées pour etc…
Pour le reste je ne suis pas une fine connaisseuse, je n’ai pas de souvenir précis, j’ai juste apprécié la visite.
Puzzle d’Ana Mazzei
Dans l’exposition “Mains, Sorts et Papiers” se trouve une table en bois clair avec un puzzle de maison. Très interactif et ludique, ce puzzle en bois peint, feutre et linoleum permet de construire une maison à son goût tout en déplaçant les différentes formes multicolores.
Petits papiers par les mains
Présentation d’un petit mobilier serveur de café torréfié.
Dégustation d’une petite dose de café en provenance du Guatemala.
Visite guidée de l ‘exposition présentée par divers artistes Sébastien Rémy et Cyril Verde.
L B Haussmann nous présente plusieurs petits luminaires avec un jeu de diode très intéressant.
Pierre, feuilles, Ciseaux
Voici ici une exposition intéressante qui allie la création artistique avec les artistes et le public.
Cette année encore, La Galerie repart sur un nouveau thème.
De ses salles d’exposition vidées et peu éclairées va renaître tout au long de l’année, comme les expositions « Tes mains dans mes chaussures », « Les limbes », « La langue dans ma bouche » etc…. un partage collaboratif amenant jeux, dessins et volumes aux endroits que les artistes auront préparés au préalable, invitant le public à suivre le chemin de l’inventivité avec toujours un soin et entretien des œuvres suivis par le personnel de La Galerie.
Une œuvre premièrement exposée invitant le public au premier partage à travers une dégustation de café, sa fabrication, sa préparation multiple et son histoire, son meuble créatif recouvert d’œuvres d’art ( peintures, objets) représentant les artistes et leurs intentions à les découvrir.
Ainsi donc, d’autres artistes rejoignent le cercle de la découverte collective.
A suivre…
Objets du quotidien
Je n’ai pas aimé l’exposition car j’ai vu beaucoup de membres coupés, de la nicotine en bidon pour pouvoir la respirer. Sur une table un truc marron peut être des excréments car il était question d’intestin.
Dans une autre pièce de grandes brosses on aurait dit pour nettoyer les bouteilles mais d’un format énorme. Sur un socle était posée une tête sans yeux.
Après nous sommes allés en atelier et l’on nous a demandé de faire un exercice, voici le mien :
Je suis un petit meuble
J’aime bien les petits objets, bibelots que l’on pose.
J’aime moins quand on oublie de faire la poussière.
Je ne sais pas parler.
Mais je sais m’exprimer physiquement en éternuant et toute la poussière vole.
Je ne souhaite pas que l’on change quoique ce soit à ma co-location seulement que l’on fasse la poussière un peu plus souvent.
Après avoir vu une exposition où il était question de trucs, objets du quotidien qui ne sentaient pas très bon et pas vraiment agréable à voir, c’est peut-être pour cette raison que j’ai choisi de parler de choses plus jolies et qui ne dégagent pas de mauvaises odeurs.
L’autre le nez
Je suis un nez, j’aime les bonnes odeurs, j’aime pas les mauvaises odeurs, je sais me moucher, je sais respirer, je ne sais pas faire ce que les autres membres font, on me lave pour bien respirer, je ne souhaite rien changer à ma cohabitation, je suis bien là où je suis.
Pour « La langue de ma bouche » Hedwig Houben est courageuse avec son casque sur la tête pour faire des perles des pâtes à modeler. Hedwig Houben « La Noble Dame et le Glaïeul » (2017): le couple de vieux nettoie les plaques à modeler sur lesquelles on marche et on étend les balais.
La pensée par l’expo
J’ai apprécié particulièrement les œuvres de l’artiste hollandaise Hedwig Houben et Jean-Charles de Quillacq :
« Les mégots », 2017
« La noble dame et le glaïeul », 2017
« Borborygmes » 2017- 2018 (boudin noir, la grosse tranche de jambon et le réglisse). Ma langue me fait de l’effet en voyant l’œuvre au naturel et en la comparant à la vision photo. On n’a pas la même pensée ou réaction au niveau du commentaire.
(Boudin noir, jambe léchée) par contre je n ‘ai pas vu le mari de l’artiste alors qu’on a vu les parents et le petit-fils…
Le bureau
J’ai choisi le bureau.
J’apprécie de mettre dans le bureau des dossiers.
J’aime moins le désordre.
Je sais faire dans le bureau des dossiers et des classements.
Je ne sais pas faire de l’ordinateur dans le bureau.
Je souhaite changer quelque chose à ma cohabitation.
Je souhaite changer à déplacer le bureau d’endroit.
Le jour se lève
Je suis un estomac
J’aime le soleil
J’aime moins la pluie
Je sais faire du vélo
Je ne sais pas jouer au bowling
Je respire de l’air.
Je veux une mobylette.
Hedwig Houben et Jean-Charles de Quillacq
Voici deux artistes qui ont fait parti de l’exposition « La langue de ma bouche » à La Galerie, centre d’ art contemporain de Noisy-le-Sec, qui ont eu un intérêt pour moi lors de la visite que j’ ai pu voir.
Je vous parlerai de leur point commun dans leurs arts mis en commun ici qui m’ a plu particulièrement.
Leurs performances devant des publics pour faire ressentir aux gens des interrogations sur le soi- même, l’ être intérieur de l’ humain, ses sens développés par démonstration manuelle artistiques et orales.
Exemple d’une œuvre « Borborygmus » d’Hedwig Houben
L’artiste par sa création recherche verbalement et tactilement avec de la pâte à modeler à faire comprendre les sensations de l’intérieur de son corps, et d’y mettre des mots.
Autre œuvre de Jean- Charles de Quillacq « Mégots »
Il fait la démonstration par sa performance de montrer une forme de dépendance en modelant une baguette de pain ou en demandant à d’autres personnes d’ entretenir une pièce d’art avec de la nicotine pendant plusieurs jours.
Pour moi effectivement ces deux personnes se retrouvent dans leurs idées artistiques de recherches sensorielles humaines. La découverte corporelle de l’être. Et faire parler leur publique, libérer la parole.
Dans l’ombre du corps
Un visuel viscéral dans l’antre de ma sphère péristaltique, du tord boyaux spasmodique criant famine… Angoisse malaxée dans une matière malléable à l’infini.
Dans l’obscurité du corps humain certains bruits trouvent leurs chemins et suivent leurs parcours.
Un unijambiste addicte à la nicotine qui sniffe de l’encre de stylos bic et fume une cigarette en charbon sans fin…